ACF / Portrait d'une communauté engagée : Montréal

Julien et moi allons tout particulièrement ausculter à quoi ressemble une communauté engagée lors de notre séjour à Montréal avec une restitution au commun.

Ça pourrait donner ça :

Le sujet
De quoi /de qui est fait une communauté qui s’engage ?

La matière
La communauté Montréal

La façon
Un observatoire sur la base d’entretien et d’une grille
Créer une timeline de l’engagement dont la fin n’est pas l’évènement

Pour chaque personne :
son role = de quoi a t-il été le facilitateur
sa mini-timeline = pour mieux comprendre la temporalité de l’engagement
sa contribution = qu’est-ce qu’il/elle produit plus particulièrement

On fera aussi émerger le fonctionnement de la communauté :
les moments de communication
les moments de travail
les moments de mise en œuvre de la communauté

On voudrait aussi identifier deux axes sur lesquelles placer les éditions et/ou communautés existantes, pour visualiser sur une cartographie la diversité des modes de fonctionnement des communautés (exemple : axe rapport au musée, axe taille de l’équipe cœur, etc. …… axes à trouver.)

Une première étape du travail conduit dans le cadre de l’accord ACF qui se poursuivra en février et mars lors des nouveaux échanges Museomix Ouest / Montréal / Communs

Derrière cet engagement, le coeur du sujet est : si Museomix est le début de quelque chose de quoi est-ce ?
Ou comment maintenir l’énergie d’une communauté et pour faire quoi / comment ?

Vos retours sont les bienvenus bien sûr !

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Ça m’intéresse beaucoup d’en lire les résultats !

Une petite question : ne pensez-vous pas que l’engagement d’une communauté dépend aussi en bonne partie du contexte et du territoire dans lesquels celle-ci s’insère ? Est-ce quelque chose que vous allez prendre en compte dans votre évaluation ?

Il y a peut-être, de cette façon, des “conditions propices” à l’engagement d’une communauté à faire ressortir. Ces conditions peuvent être artificielles (dans le sens où elles auront spécifiquement été mises en place par l’équipe organisatrice ou des facilitateurs) ou “naturelles” (c’est-à-dire dépendre de l’histoire de la région ou de la personne engagée).

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